Moua encore (kira Bakura)

Image:

Nom: Bakura

Prenom: Kira (Sa rhyme xD)

Age: 16

Village: Konoha puisque je le dit.

Techniques:

-Hyôton, Kokyuu
-Hyôton, Rouga Nadare no Jutsu
-Hyôton, Tsubame Fubuki
-Hyôton, Kokuyrûu Bôfuusetsu
-Hyôton, Hyourou no Jutsu

Affinité(e)(s): Ouhlaa...><

Histoire (20 lignes minimum):

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Hihihi !! Arrête papa !

Le rire éclatant d’une jeune fille résonnant dans un parc vide, ou le soleil brillait avec ardeur. Dans ce parc deux êtres partageant un même sourire et joyeuseté. Celui qui on devinait facilement être le père était assis portant sa jeune fille sur ses cuisses. Cette dernière ne pouvait s’empêcher de rire dû aux grandes mains appartenant à son père la chatouillant aléatoirement autour du corps.

Hihi…Haha ! Papa, papa arrête !

- Ah pour cela Kira va falloir dire que tu m’aime !

- Je t’aime !

- Ah désolé, j’ai pas très bien entendu !

- Papa je t’aime !

- Ah voilà

La jeune fille s’écroula à bout de souffle dans les bras de son père, ce dernier la serra fort dans ses bras, caressant ses cheveux lisse de couleur orange. Son visage reflétant une pensée lointaine, un regard morne était dirigé vers le ciel, sans objectif concret. Là où il regardait, par mis les multiples nuages il apercevais le visage d’une femme ravissante, portant un sourire étincelant. Ce visage n’était nul autre que celle de sa femme, mère de Kira Bakura.

Papa à quoi tu pense ??

Dit la jeune fille qui avait retrouvé son souffle, maintenant assise droit à côté de son père, observant curieusement ce dernier.

- Ah rien ma chérie…A rien

- Cool ! J’ai eu peur, tu avait l’air un peut triste, allons jouer papa !!

- OK j’arrive, ATTENTION 5…4…3…2

La jeune s’en alla en courant vers un tronc d’arbre, se cachant derrière celui-ci.

Son visage était encore très innocent, loin d’être bronzé la jeune fille était d’ôté d’une peau pale de couleur beige très clair. Des bras et des jambes si fins qu’il semblait pouvoir être cassé sans trop d’effort était liées à son torse. Une toute petite queue de chat était poussée à base de son basin, accompagnée avec de toutes petites oreilles de chats. C’était une petite fille toujours en hilarité, très extravagante, une qui ne portait que des sourires et des visages heureux autour d’elle. Malgré son petit différent elle était la petite adoré du village cachée de Yuki, le village de la neige.

Il était dit que ce village ne portait que ce nom à cause des habitants qui y résidait, avant d’être à présent une contrée de neige et de glace c’était un village comme tous les autres. Le changement n’a que eu lieu depuis l’apparition des « ninjas de glaces » comme on les avaient si bien surnommé. À cause de leur affinité héréditaire, les ninjas avaient transformé la contrée humide et chaude en une contrée froide, mais néanmoins toujours aussi beau.

AHAH ! Je t’ai trouvé ma chéri !

- Nan, c’est pas juste, t’a triché ! On recommence !

Sur ce la jeune fille adorable repartit en courant. S’attendant à ce que son père la suive.


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6ans plus tard.
Kira Bakura = 13ans

Enfin tu es réveillé !

Cria une basse voie appartenant à un vieille homme assis en train de faire brûler du bois. Ce vielle homme en question se retourna pour voir la jeune adolescente se tenir la tête entre ses mains, projetant un air dépressif. Il se retourna ne préférant faire aucun commentaire sur cette image. La jeune fille se leva enfin pour aller marcher le plus loin possible. Kira faisait toujours ces mêmes gestes quand elle faisait un rêve concernant son passé. Difficile de savoir pourquoi, on se demandait si n’elle s’y attachait tant que cela.

Elle s’était transformée, elle avait changé, le temps et les évènements ont eu raison d’elle et de sa conscience. La jeune féline des glaces n’était plus ce qu’elle était au par auparavant. La seule personne à qui elle osait adresser la parole à présent était ce vieil homme qui partageait, malheurs, bonheurs et toutes sortes d’aventure avec elle.

Sans un mot la jeune fille s’assit à côté du vieil homme. Elle repoussa une touffe de chevelure qui s’était placée devant son oeil.

Le sentiment qui maintenait les deux être ensembles était innéxpliquable. Ce n’était pas de l’amour, ni de lien sanguin, c’était plutôt un attachement, un attachement non ordinaire. Ils n’avait rien avoir ensemble, ils ne s’aimait pas, et pourtant la confiance que Kira portait en cet homme était très élevée. C’était le seul homme, qui resterait avec elle, lui tenant compagnie, sans jamais essayer de la raisonner, de la changer ou même de la guider. Non cet homme à remarqué que cette jeune fille vivais une période difficile, tout lui disait d’essayer de lui parler, de voir ce qui ne vas pas, d’essayer de la changer aussi, mais non, il ne fit rien, pas qu’il s’en foutais mais surtout car il savait que ça ne servirait à rien, rien ne pourrait la résonner, et a il l’avait compris dans son regard. Kira Bakura acceptait cela, et vivait ainsi, son ego ne lui permettrait jamais d’écouter quelqu’un et de faire un effort de changement. Alors elle restait comme elle était.

Son regard vis-à-vis des choses était détourné, elle semblait avoir perdu tout attachement aux choses réel. Son regard sur des inconnues avait changé, une envi de violence la prenait à chaque contacte moral. Elle avait perdu absolument tout sens social.



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Dans les légendes concernant les ninjas de glace (qui maintenant constituent plus de 60% de la population de Yuki) il y avait des dires disant que chaque centenaires le clan apportera un être hors du commun. Celui-ci ou celle-ci sera dôté non seulement de l’affinité Hyôton, mais en soi-même il portera l’évolution d’une nouvelle espèce. Un hybride. L’histoire changeait de version à force d’être trop racontée, certaines versions racontent qu’il/qu’elle sera : mi homme mi serpent, d’autres mi chien, d’autres aussi mi aigle, et d’autres encores mi Lion ou même mi Sphynx. Mais il était aussi dit que la femme femme qui aurait été donné le grâce de pouvoir mettre au monde cet être mourra en lui donnant la vie dû à l’épuisement de son chakra qui aurait été absorbé par l’enfant, utile à sa croissance spéciale.


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13ans plus tot.
Kira Bakura = 0ans

« Tout le monde venez voir ! Ma femme va accoucher ! Je vais avoir un ENFANT !!

Cria un homme torse nu, les mains couverte de sang et les yeux remplis de larmes de joies. Aveuglé par le bonheur l’homme était sortie en telle état pour appeler le voisinage en tant que spectateurs, pour cette scène magique ou un être donne vie à un autre. Le voisinage se précipita de se rassembler à l’intérieur de la demeure pour assister à la scène magique. Les plus vieux étaient heureux de toujours apercevoir naître les nouvelles générations et des scènes les rendant nostalgiques. Les plus jeunes venaient par pur curiosité et voir se réaliser leurs rêves pour le futur.

On remarquait la perte d’énergie graduelle, l’affaiblissement de la femme donnant naiscance. Croyant que ce n’était rien de plus normale, le public ne fit aucun commentaire, de sorte d’éviter de troubler le père qui vivait actuellement un rêve.

Quelque heures se défilèrent, et l’inquiétude monta d’un cran dans l’atmoshpère de la salle.

AHHHHH !!

À l’occasion de ces cris d’agonie suivie d’un effort surhumain public tout entier retint son souffle pour enfin le relâcher à la vue d’une petite tête sortant des entrejambes de la femme agonisé. À ce moment-là, tout le monde soupira de satisfaction, certains pleuraient dû à l’overdose d’émotion, tout le monde était satisfaits, cela dit, tout le monde excepté le père. Ce dernier était agenoué devant sa femme, et observant sa fille dans ses bras, choqué de voir que la petite disposait d’une paire d’oreilles de chats et d’une toute petite queue poussant de l’arrêt de ses fesses. En pleine incompréhention, il regarda sa femme.

« …J’avais compris cela depuis…Mon troisième mois de maternité…Je détenais exactement…Les mêmes symptômes que la légende raconte. »

- M…Mais comment ça ? Qu’est-ce que tu raconte sherie ?

- Promet moi juste une chose…Je veut que tu aime cette fille comme tu n’a jamais aimé personne…Dit toi qu’elle n’est pas résponsable de ma mort, et qu’une partie de moi sera ré-incarné en cette fille…

- Mais shérie ! Tout ira bien ! Attend regarde, j’appelle de laide. VOUS LA-BAS CHERCHEZ DE L’AIDE VITE !!

- Laisse…tomber

- Mais non ! Ne me laisse pas seul ! Tout ira bien !

Il plongea sa tête sur le torse de sa femme laissant couler ses larmes sur ces vêtements.

- Promets…le…moi

Sur ce la jeune femme lâcha prise. Sa tête s’allongea sans vie sous les yeux de son mari. Le public sortit de la demeure comprenant que leur place n’y était plus.

« Je te le promets… Je l’appellerais Kira…tout comme toi.»

Le père sétait fait la résolution de l’aimer plus que tout au monde malgré cet incident. Il allait faire revivre sa femme en sa fille.


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15ans plus tard.
Kira Bakura = Chef ANBU

*Quand un empire attaque, il est parfois ramené à se défendre aussi, mais la meilleure défense reste et restera la parfaite connaissance de leurs ennemies, et cela, les frôlons l’avaient compris. Quand la guerre était lancée, la mort ne les empêcherait pas…Leur but resterait objectif primale lorsque tout le reste passerait derrière, car, face à leurs rivales ils ne franchiraient pas, ils tailladerons leurs adversaires pour ne laisser qu’un tapis de morts, de mortes et de mourants. C’était bien la logique de la nature, ou plutôt la loi de la nature sauvage, qui ne manquait pas de passer à la logique de notre hiérarchie de shinobis ninja qui sommes. Tout cela est la raison pour laquelle nous ANBUS ont été formés, pour le but principe d’être ses récolteurs de données confidentiels qui porteront notre pays à cette connaissance, si minime qu’elle soit du prochain, ennemie comme alliée. Éliminer et récolter, notre boulot, consiste à cela, et rien de moins. Nous sommes comparable à des fermiers, eux élimine les mauvaises entrevues pouvant se porter comme menace pour leurs glaises, tout en cherchant les moyens de prévenir toutes sortes d’imprévues qui pourraient gâcher leur sème et leur glaise. Nous ici, sommes assigné à ce boulot pour éliminer sous ordre les hommes qui pourraient s’avérer êtres des menaces quelqu’onque pour notre village et renforçons tout en même temps notre bâtisse en lui servant de missionnaires spéciaux.

Nous avons été évoqués parmis tant d’autres pour accomplir cette « tache ». Un fait que l’on devrait prendre comme honneur, et non comme dégoût quand nous viens l’obligation d’assassiner quelqu’un de sang froid sans même laisser l’adversaire mourir en honneur en découvrant notre identité. Non au contraire, encore une fois nous avons été élue pour nos qualités hors normes de pouvoir assumer et contenir tout cela…Et il ne nous en revenait que comme leçon pour plus tard.

Quand on rentre dans un combat l’essentiel et de l’entreprendre avec un ascendant psychologique, peut importe la taille et les dires sur l’opposant, une fois une volonté morale d’être sûr d’aborder le combat d’office vainqueur et d’éliminer toute crainte de l’opposant, on est déjà un homme plus fort que dès le départ. Le goût de la victoire et le refus de la perte en revenait à tout cela. C’est ce que l’on doit tousse aborder comme psychologie pour le meilleure de la défense de notre pays. Car autre temps, les Senjus ou Uchiha’s se formèrent une autorité et intimidation inégalables grâce à ses factures. Et ce n’est seulement en renouvelant cet état d’esprit que l’on pourrait un jour retrouver cette puissance d’arme et de personnalité. Nous ANBUs sont la pointe du village, discriminé par nos comportements distincts mais aussi admiré pour nos actes.

Aujourd’hui le régime à changé, on n’est plus destinée à rester en isolement du reste de la population pour effectuer nos missions en groupes de personnes portant de même rang que nous-mêmes. Toujours avec les mêmes principes, on peut aujourd’hui libérer d’autres talents et effectuer des missions à l’égard d’autres personnes d’un rang dissemblable au nôtre. Une liberté nouvelle pour but de recentrer chaque personne dans Konoha, et pour faire disparaître les mauvaises bouches entre autres. *

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2 mois plus tard
Kira Bakura = 15 ans


Dans tout ce que j’ai pu entreprendre, j’ai toujours porté une profonde jalousie envers le bonheur des autres. Malgré l’amour, et l’amitié incessante que je recevais, j’éprouvais toujours un profond vide que je blâmais sur les autres. Trop fier, ou trop refermé pour en parler, je partais plutôt me renfermer pour noyer mes habits dans mes larmes. On dit que le bonheur est permanent et qu’il faut savoir ou le trouver… je dit que le bonheur se dissout beaucoup trop rapidement. D’autres de mon age se promènent en groupes entre amis pour faire des choses que je ne pourrait que faire seul, j’arrive a me soulager en pensant que je ne suis pas la seul… Mais tout comme le bonheur, ça ne dure pas assez longtemps. Je dois être beaucoup trop fragile… On me disait souvent qu’il faut que je trouve ma voie avant que je grandisse. Mais je préfère ne pas penser a des choses trop préoccupantes par simple peur de les affronter. Oui j’ai peur de l’avenir, et peur de prendre mes choix… Je veut vivre le jour au lendemain sans histoires, mais la conviction que tout tourneras mal un jour me reste. Le manque de présence féminine comme mère a bien pu m’être marquante… Je n’ai jamais eu l’impression d’en manquer et pourtant aujourd’hui l’impression me vient que cela m’a fortement pesé. Pourquoi ne suis-je pas comme les autres enfants qui ont perdu leurs semblables pour grandir et devenir une personne encore plus forte et solide qu’avant ? Je suis encore plus molle que je ne l’ai jamais été… Ce n’est sans doute pas l’impression que je donne a l’extérieur, du moins surtout pas celle que je veut donner. Mais refermer mes émotions ne fait que m’en revenir plus tard… Notamment quand je me retrouve seule dans mon domaine. Me retrouver seule est de loin un affrontement trop éprouvant pour moi, de la viens la raison pour laquelle une nouvelle personne se retrouvera constamment a passer la nuit avec moi. Je n’ai aucun contrôle envers mes émotions et ma vie sociales. La seule chose chose en laquelle je peut chercher un contrôle est mon poids et ma santé. Me rendre malade, me mutiler me donne un sens de contrôle au delà dessus de mon corps et du reste. Mon rang d’ANBU ne m’arrange pas socialement. Tout le monde se fait l’image d’un ANBU quelqu’un dure comme de la roche à qui faire des connaissances sociales seraient la dernière chose qu’il souhaiterait, l’opposé s’est installé chez moi. Des amis, et des personnes qui pourraient s’avérer très proches, sont tout ce que je recherche. Je ne cesse de chercher la place ou j’aurais l’haute estime des autres.

Honnête… Je ne le suis pas. Jusqu’aujourd’hui je n’ai pu encore trouver personne avec qui partager mes sentiments et mes égards envers ma vie et ce qui l’entoure. Chaque personne que j’ai rencontrée pense de moi ce que je ne suis pas. Mon masque physique que je dois porter pour mon grade d’ANBU et celui que je porte aussi comme personnalité. Certains sont schizophrène, certains ont une double personnalité… Certains ont même un être a l’intérieur d’eux. Je ne suis rien de tout c’la… Juste une peur de faire pare de mes vraies sentiments et de mes réelles intentions. Je souris alors que j'ai envie de frapper, je m'agenouille et me plie devant certains alors je voudrait leurs faire face, je lance des compliments et gratifie d'autres alors que je ne voudrais seulement leur insulter et critiquer leur médiocrité. Si j'étais revenue a Konoha, ce n'était pas parce que je m'étais tant attache a l'hokage... Ce fut ce que j'ai laisse croire, mais Konoha me paraissais être un village accueillant et moralement faibles, que je pourrais rapidement et facilement me faire une grande place et m'attirer l'estime des autres. Etre gracieuse et charmante pour finalement m'attirer le respect et l'adniration si peut soit-elle des gens pour pouvoir m'accrocher a un grade encore plus haut soit-il pour pouvoir avoir encore plus d'estime.

Maintenant alors que je revois tout ce qui a pu se passer, et ce que j'ai pu faire et avoir, je m'incline presque devant ma stupidité. J'ai eu tout ce que je voulais du début a la fin (la fin qui est sensé être maintenant) chaque but que je mettais fixé, je les avait atteint. Notamment le premier qui au début me semblait impossible, quand je franchissais l'étape je ne m'en rendait même plus compte, et croyais que je n'avais rien accomplie d4hors-norme, cet ainsi de suite que je me fixais de plus en plus de but et que mes intentions grandissait tout avec mon manque aussi. Si j'avais su m'arretter et réaliser que j'avais déjà atteint mes buts, je n'aurais plus besoin de rien, a moins que je ne pouvait jamais me satisfaire. Alors que mon premier but, qui était de me faire un nom rapide a Konoha fut rapidement établie alors que l'on me donna le rang d'ANBU. Sans me rendre compte que c'était une chose exceptionnelle je me jeta directe sur le plan de profiter de mon rang pour proposer mon vote au rang de bras-droit sachant d'avance que j'allais emporter la majorité, ce qui fut également fait.

La encore, alors que j'y repense, je ;e rend compte que j'ai eu des rangs énormes parmi la société de Konoha, et pourtant réalisant que tout allait pour le bien je ne me contentais pas de ce que j'avais déjà et je cherchait plus... Le rang d'hokage. Tout cela pour chercher quelque chose que j'avais déjà depuis longtemps... l'estime des autres. A savoir, si j'avais eu le rang que je souhaitais finalement...Serais-je heureux ? Serais-je satisfait ? Ou chercherais-je encore plus a ma possession, et sachant que je ne pouvais pas aller plus loin a Konoha, j'aurais pu aller dans d'autres villages chercher d'autres embrouilles.

Je resterais ici, sur la tète de ses rochers, noyant de nouveau mes larmes qui n'aiderons pas a combler mon vide intérieur alors que ma notoriété et ma popularité descend graduellement, et je perdrais l'estime que je voulait tant avoir, que j'ai eu et qui finalement a cause de mon inattention me glisse par les mains.

...
...
...si je mourrais ici, entre mes propres mains...Est-ce que quelqu'un s'en rendrait compte...

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21 heures plus tard
Kira Bakura = 15ans
Tante de mettre fin a sa vie

Un peu de lumière…Un peu de son.*
…
…
…
*S’il vous plaît.*

Le rien. C’était ce que je vivais présentement. J’avais du mal à savoir si mes yeux étaient ouverts ou pas. Cette même sombreté ultimement dense couvrait ma clairvoyance. Etais-je dans une impasse subsistante à la suite d’une utilisation sur modéré de chakra ?

Il me semblait bien être réveillé, mais pourtant…Pourtant je ne voyais toujours rien. Je n’entendais que des bruits si indistinct, qui finalement me faisait croire qu’ils n’étaient que fruit mon imagination. Comme si quelqu’un avait paralysé mes sens. Être mort sans l’être. Un illogisme démantelant.

Combien de temps allais-je rester comme cela ? C’était une douleur insupportable, sans vraiment l’être non plus. Tout ce que je sentais n’en venait à rien, comme si tout était mirage et illusion. Similaire à un rêve. Tout était imaginaire. Je me levais, parlais, mais en faisan face au réel, rien ne changeait, j’étais toujours au néant.

Je répétais le rituelle de crier de toute mes forces. Mais toujours néant. L’illusion que donnait mon cerveau devenait de plus en plus puissante, mais de l’autre côté un stress et une anxiété odieux prenaient part de moi. L’impatience de pouvoir faire quelque chose, le sentiment de ne pouvoir rin faire, j’étais de plus en plus réveillé, et pourtant il me semblait que je sombrait de plus en plus.

*AAAAAAHH !!*

Rien à faire. La distance qui semblait me séparer du monde vivant semblait être infini. Je croyais que ne pourrais jamais m’en sortir de cet emplacement. La douleur que je ressentais présentement était inatteignable par tout autre mauvaises condition. Tout hémorragie pouvant êtres subis sans en mourir étaient loin de détrôner ce que j’habitais maintenant.

*SORTEZ MOI DE LA !!*

Toujours nulle.

*Un peu de lumière…Un peu de son.*
…
…
…
*S’il vous plaît…Quelque chose…*

Ce fut le dernier effort que j’allais faire. Si ceci n’était qu’une mise en scène pour me mettre au défit, j’abandonnais…Je n’étais pas assez fort pour surmonter ceci encore plus longtemps. Rien ne me retenais encore ici…

Non rien.

La sombreté se referma sur moi, comme un portail claqué. Mon imagination aussi avait claqué. J’avais plongé tout droit dans une piscine de rien du tout. L’eau de la piscine représentait le vide absolu autour de moi. Et cette piscine matérialisée allait prendre ma vie dans un embrassement démonique. J’allais me noyer ici.

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6 mois plus tard
Kira Bakura = 16ans


Finalement tout ce que moi, mes parents et mes autres proches avaient fait n’aurait pas servi a rien. Les défauts que je croyait avoir me servait a quelque chose...me rendre compte que je me trompais de voie, et que je pouvait encore changer par la seul force de ma volonté. C’est ce que je fit. Après avoir tante de mettre fin a ma vie, et de m’être réveillé je me suis rendu compte que ce que je venait de faire etait de loin la chose la plus absurde.

Je regarda, m’arrêta et prit conscience de se qui se déroulait encore autour de moi...et je n’étais pas mal aimé... ce n’etait que l’impression que je me donnais a moi seul.

Avec cela mes nombreux défauts ont disparu, et peu de temps par la suite j’enlevai mon masque, plutôt MES masques, car j’abandonnai mon grade d’ANBU pour revenir au grade de Juunin simple pour pouvoir vivre ma vie sociale a pleine aise. Je me fis encore plus remarque comme cela...la vie ne valait pas d’être vécu comme je la vivais.

Me voici aujourd’hui, devant tout un village pour présenter mes premiers mots en tant que Kage du pays du feu ! J’étais la Hachidaime Hokage, et j’allais servir ma mission qui sera Konoha a mes extrêmes !

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